Normale ou pas ?
Le post d'hier a suscité de nombreuses réactions ! Jamais je n'aurai cru qu'on parlerai voiture sur ce blog... Mais bon, comme je vois que ça intéresse mes lecteurs, je vais en rajouter une couche, en vous donnant un lien qui vous en dira un peu plus sur l'alfa 147 de mon homme : c'est par ici que ça se passe !
Bon sinon, aujourd'hui, c'est jeudi, et je vais vous en dire un peu plus sur moi. Je suis le genre de nana qui pète le feu dès le matin, qui ouvre les fenêtres pour aérer, qui fait des guili-guili à son homme endormi, qui passe l'aspirateur à 8h, et qui étend sa lessive à 8h05. Depuis toute petite, dès que mon réveil sonne, je suis d'attaque pour la journée. Et même que la plupart du temps je me réveille avant le réveil. La faute à mon envie furieuse d'aller faire un tour au wawa à 5 heures du mat'...
Donc, je disais que le matin, je suis wonder woman. Même le froid n'a pas d'emprise sur moi.
Mais bon, le mythe s'effondre le soir venu. Là, je me transforme en petite chose grelottante. Passez 21h, je n'arrive plus à réguler mon corps. Cet appartement si chaud le matin, me frigorifie la nuit tombée. Je trouve alors du réconfort dans mon plaid rouge, acheté 1 euro chez notre ami suédois.
L'homme amoureux est consterné par mon autorégulation. Et pourtant c'est le premier à m'ouvrir les bras pour me réchauffer. C'est aussi le premier (et le seul), à me border quand Morphéus me sussurre à l'oreille qu'il serait temps d'aller se coucher.
Vous devez vous demander pourquoi je vous raconte tout ça ? Bon ben déjà pour vous détendre de cette longue semaine, et surtout pour savoir si vous aussi vous êtes touché(e)s par ce syndrome chaud-froid.
Je réalise ce sondage dans l'espoir d'avoir des copains-copines de glagla du soir, histoire de rassurer l'homme amoureux qui commence à se poser des questions sur mon métabolisme.