Tartiflette tatin
Bon je sais, c'est pas light, mais bon, faut ce qui faut pour affronter ces températures hivernales.
Cette recette, je l'ai piquée à Cyril Lignac, dans "Oui chef", mais je l'ai faite à ma sauce... Parce que lui, il dit de mettre du fromage de raclette, mais bon, je préfère le reblochon qui a plus de goût.
Ce qu'il vous faut pour 4 personnes :
1 pâte feuilletée
5 tanches de jambon cru
4 grosses patates
3 oeufs
30 cl crème fraîche
du comté râpé (pas du gruyère hein)
du reblochon (6 belles tranches)
sel et poivre
J'ai d'abord faire cuire mes pommes de terre. Avec la peau. Et pas trop de cuisson. Ferme comme il dit le môsieur. J'ai ensuite enlevé la peau des patates et je les ai coupées en rondelles. A côté j'ai un plat à gâteau avec de larges bords. Avec un sopalin, j'huile le plat. Je dispose les tranches de jambon sur le plat.
Je place ensuite les patates en rosace. Elles s'entrechoquent un peu.
Après vient le tour des oeufs battus avec la crème fraîche et le râpé du comté. Au passage, ne vous privez pas et goûtez le fromage... On n'est plus à ça près ;-)
Les tranches de reblochon (sans la croûte) se posent là où elles peuvent, c'est à dire sur le mélange comté rapé + oeufs battus + crème fraîche. Je vous avais prévenu : c'est pas très léger...
Une fois que le reblochon a trouvé sa place, c'est au tour de la pâte feuilletée. Je l'ai étalée sur le plat, j'ai replié les bords, coupé le surplus et fait des petits trous dedans pour ne pas avoir une montgolfière. Zouuuuu, au four à 210°C pendant 30 minutes.
Yapuka retourner la tartiflette et à la déguster avec une salade de mesclun.
Pour le retournement, j'ai laissé faire l'homme amoureux, parce qu'avec moi ça tombe sur le parquet !
Au final, vous avez un gros gâteau rempli de fromage fondu. Je passerai sous silence le nombre de calories. Y'a pas de mal à se faire du bien, comme dirait l'autre...
Rajout de dernière minute : hier soir, l'assiette de présentation que vous voyez ci-dessus a connu une fin atroce, éparpillée en mille morceaux sur le sol de la cuisine. Et c'est pas ma faute, hein ! C'est le chat qui l'a fait tomber...